Voici, je me tiens à la porte et je frappe ;
si quelqu’un entend ma voix
et ouvre la porte,
j’entrerai chez lui pour dîner,
moi près de lui et lui près de moi.
Apocalypse 3,20
C’est le Christ qui parle. Il nous dit qu’il veut être présent dans nos vies, mais sans s’imposer, il frappe à la porte, à nous de l’accueillir. Sa présence en nos vies et même en ce monde dépend de nous !
Dieu veut être notre proche, notre intime, pour que nous puissions être son intime.
Mais il y a deux conditions, il y va du respect de notre liberté.
Il faut entendre Jésus frapper à notre porte, il nous faut tendre l’oreille, être attentif aux signes ; avoir les yeux ouverts, les oreilles ouvertes, le cœur ouvert. Lire l’Ecriture.
Et puis, il faut ouvrir la porte, c’est-à-dire ne pas rester enfermé sur nous-mêmes. Aller de l’avant, prendre le temps de la prière. Lui laisser un peu de place chez nous, en nous.
Avec ça vous avez de quoi comprendre, maintenant priez simplement.
Se répéter ce bref texte, se répéter une ligne, la première ou la dernière. Prendre le temps de mesurer combien ces mots sont pleins d’espérance.
N’est-ce pas là toute la foi d’un chrétien ?
Laissez venir des prières de demande ou d’étonnement ou de louange.
Pas de grandes phrases. Des appels, des mots d’accueil.
Viens Seigneur Jésus !
J’ouvrirai, c’est promis, d’ailleurs j’ai déjà ouvert,
Et tu es déjà là ! C’est moi qui n’y étais pas.
Tu souris, tu prends ça bien, tant mieux !